Le rumex : ne pas se laisser envahir

Plante commune assez envahissante et sans intérêt fourrager, le rumex est l'adventice (plante indésirable) la plus rencontrée dans les prairies, répandue sur toute l’Europe, sauf les zones subarctiques et méditerranéennes. Limiter la propagation du rumex est possible, notamment grâce à une bonne conduite des pâtures. Après la description de la plante, voyons quels facteurs favorisent son apparition et son développement et quels moyens de prévention existent pour y faire face, ainsi que les moyens de lutte nécessaires quand la plante est déjà installée.

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Par Pauline DOLIGEZ - Nelly GENOUX - | 22.06.2022 |
Niveau de technicité :
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Sommaire

Description du rumex et de sa biologie

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Pied de rumex © N. Genoux
Le rumex – également appelé « oseille », « patience », « doche » ou encore « parelle » – est un genre de plantes herbacées vivaces dicotylédones de la famille des Polygonacées. Très robustes et invasives, ces plantes communes ne présentent aucun intérêt fourrager et sont considérées comme des adventices (plantes indésirables) des prairies. Elles peuvent atteindre 50 à 120 cm de haut.

S’il existe une multitude d’espèces de rumex, les deux espèces les plus répandues sur le territoire sont le rumex à feuilles obtuses (Rumex obtusifolius) et le rumex crépu (Rumex crispus). Comment les reconnaître ?

Les tiges

Chez les deux espèces, la plante présente un port dressé, avec une à plusieurs tige(s) cannelée(s) très robuste(s) légèrement ramifiées à leur sommet. Les rameaux sont ascendants. Sur les jeunes pousses, les tiges présentent une teinte verte qui vire au brun-rougeâtre au fur et à mesure du développement de la plante dans la saison.

Les feuilles

Chez les deux espèces, les feuilles inférieures sont disposées en rosette. Elles sont de couleur verte, alternes (disposées alternativement de part et d’autre de la tige), glabres (sans poils) et pétiolées (cela signifie qu’une pièce foliaire appelée « pétiole », sorte de tige, relie le limbe à la tige). De grande taille, elles peuvent atteindre jusqu’à 20-30 cm de long.

Chez le rumex à feuilles obtuses, les feuilles sont oblongues (plus longues que larges) et ovales, cordiformes (en forme de cœur) à leur base et obtuses (voire parfois aiguës) au sommet, ondulées à bords frisés.

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Feuilles de Rumex obtusifolius © N. Genoux
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Jeune feuille de Rumex obtusifolius, de forme ovale © N. Genoux
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Feuille de Rumex obtusifolius, en forme de coeur à la base et aiguë au sommet © N. Genoux

Chez le rumex crépu, les feuilles sont également oblongues et ondulées à bords frisés, mais plus étroites, de forme oblique ou droite à leur base et lancéolées au sommet.

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Feuilles de Rumex crispus © N. Genoux
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Rosette de feuilles de Rumex crispus, de forme oblique à la base © N. Genoux
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Feuille de Rumex crispus, plus étroite et allongée, à bords ondulés, lancéolée au sommet © N. Genoux

Les inflorescences

Chez les deux espèces, les inflorescences se présentent sous la forme de panicules (grappes de grappes florales) dressées et allongées, elles-mêmes composées de nombreux verticilles multiflores (groupes de fleurs disposées en cercle, au même niveau, autour du pédoncule) assez rapprochés, comportant une multitude de petites fleurs de couleur verte à rougeâtre. Une bractée (sorte de feuille) est parfois présente à la base des pédoncules (sorte de tige reliant la grappe de fleurs à la tige de la plante).

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Rumex obtusifolius au stade floraison © N. Genoux
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Inflorescence de Rumex obtusifolius © N. Genoux
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Zoom sur inflorescence de Rumex crispus © N. Genoux

Les fruits et graines

Les fruits sont des akènes (fruits secs indéhiscents dont les parois sont distinctes de la graine qu’ils renferment) qui se composent de trois valves fructifères réticulées, de forme triangulaire et épineuses chez Rumex obtusifolius ou de forme ovale en cœur et lisses chez Rumex crispus. Ils renferment de petites graines de forme tétraédrique de 1,0-2,0 mm de long, brillantes et lisses, de couleur brun-roux.

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Rumex obtusifolius en début de fructification © N. Genoux
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Rumex obtusifolius en cours de fructification © N. Genoux
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Fruits de Rumex obtusifolius arrivés à maturité © N. Genoux
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Rumex crispus en début de fructification © N. Genoux
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Rumex crispus en cours de fructification © N. Genoux
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Fruits de Rumex crispus arrivés à maturité © N. Genoux


Au fil de la saison, les grappes de fruits vertes prennent progressivement une teinte brun-rougeâtre au cours de la fructification. Un seul plant peut produire jusqu’à plusieurs dizaines de milliers de graines.

Deux modes de propagation

Si le rumex se multiplie principalement par dissémination des graines (multiplication générative), il est aussi capable de se multiplier par prolifération des racines (multiplication végétative).

Multiplication générative par dispersion des graines

Comme vu précédemment, un pied de rumex peut produire à lui seul entre 100 et 60 000 graines par an, viables pendant plusieurs décennies. Les graines se disséminent ainsi en quantité impressionnante, principalement grâce à l’action du vent (anémochorie) mais aussi celle des animaux (zoochorie). Une semaine après la floraison, leur pouvoir germinatif est déjà élevé. Cela explique le fait que la plante soit considérée comme espèce invasive.

Des études ont montré que des tiges fleuries peuvent produire des graines viables, et ce même après avoir été coupées. Ainsi, jusqu’à 15 % des graines d’une hampe florale verte peuvent germer.
Multiplication végétative par prolifération des rhizomes

Évolution et multiplication végétative du rumex
Le système racinaire du rumex se compose d’une racine pivotante tubérisée qui lui sert à la fois d’organe de réserve et de reproduction végétative. La partie supérieure de la racine (collet) a en effet un fort pouvoir de régénération. Sur les 3 à 10 premiers centimètres de sol, cette dernière est capable de former une couronne de rhizomes, c’est-à-dire des tiges souterraines contenant des bourgeons dormants à partir desquels se développent de nouvelles pousses. L'épaisseur et le nombre de rhizomes augmentent avec l'âge de la plante.

Très développé et résistant, ce système racinaire bien ancré dans le sol (jusqu’à plusieurs dizaines de centimètres) est souvent difficile à arracher.

Consommation par les animaux et intoxications 

Le rumex contient des acides oxaliques en concentration très importante. En cas d’ingestion massive de la plante, ces acides peuvent être à l'origine d'une insuffisance rénale, avec hypersalivation et hypocalcémie aiguë. Peu appétente, cette plante est toutefois très peu consommée sur pied par les équidés, seulement de façon occasionnelle et involontairement au stade jeune pousse ou dans des fourrages contaminés.

Milieu de vie du rumex

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Peu exigeant, le rumex se retrouve sur différents types de sols © N. Genoux
Prés, champs cultivés, fossés, bords de chemins/parcelles, terrains vagues… le rumex à feuilles obtuses et le rumex crépu sont communs sur presque tout le territoire français et se rencontrent dans divers milieux. Les deux espèces sont peu sensibles aux sols tassés et ont un fort pouvoir concurrentiel vis-à-vis des autres plantes, mais quelques particularités les différencient.

Le rumex à feuilles obtuses est une espèce particulièrement nitrophile (qui s'installe préférentiellement sur des sols riches en azote) appréciant les sols frais, bien drainés, argilo-limoneux, limoneux ou silico-argileux, et de préférence acides. On le retrouve souvent sur les surfaces fourragères (pâturages voire prairies de fauche) quand la qualité du couvert végétal se dégrade, mais également dans les jachères temporaires et certaines cultures.

Le rumex crépu est quant à lui capable de coloniser une plus large gamme de milieux, y compris les sols secs et calcaires, parsemés de zones nues.

La présence de rumex peut indiquer des sols ayant été compactés et saturés en matière organique.

Quels facteurs favorisent l'apparition de rumex ?

Une mauvaise conduite de pâturage

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Le surpâturage et le piétinement, notamment dans les paddocks, favorisent le développement de rumex... © N. Genoux
Grâce à son système racinaire développé, le rumex est capable de puiser l'eau et les éléments nutritifs dans les couches profondes du sol, là où les plantes des prairies ne lui font pas concurrence.

Un sol compacté, où le couvert végétal de la prairie est peu dense, lui offre des conditions d'envahissement idéales dès que des trous de sol nu se créent dans le gazon par l'excès de piétinement ou le surpâturage.


Certaines pratiques lors de la récolte du foin

Lors des différents travaux de fenaison (fauche, fanage, andainage…), le matériel agricole favorise la dissémination des graines par action mécanique.

Une fauche très basse facilite l'accès des rhizomes à la lumière, favorisant ainsi la multiplication végétative par les racines, qui produiront d'autant plus de nouvelles pousses. De même, une coupe trop rase du couvert végétal lors de la fauche (en dessous de 5-7 cm) sera plus délétère pour les graminées fourragères que pour le rumex. Doté de grandes réserves dans ses racines, ce dernier est en effet plus apte à la repousse.

Les effluents d’élevage

Salissement des prairies par des crottins et/ou du fumier contaminé(s)

Les graines sont particulièrement résistantes au passage dans le tube digestif des animaux. Lors d’ingestion de fourrage contaminé, ces dernières sont ainsi excrétées de façon intacte dans les fèces des chevaux. Les effluents d’élevage sont donc une potentielle source de salissement des parcelles :

  • Soit de façon directe ⇒ via les crottins de chevaux de chevaux conduits au pâturage, lors de distribution de fourrages contaminés au champ.
  • Soit de façon indirecte ⇒ en cas d’épandage de fumier produit par des animaux hébergés en bâtiment ayant été nourris avec des fourrages contaminés.
La capacité germinative semble être neutralisée lorsque les graines de rumex passent par la technique de compostage du fumier (températures élevées) ou dans un digesteur de méthanisation pour les déjections ou litières qui seraient éventuellement contaminées.
Mauvaises pratiques d’épandage du fumier

De plus, des quantités de fumier mal étalées à l'épandage peuvent entraîner un étouffement du couvert de la prairie et provoquer des zones nues, favorables au développement du rumex.

Et d’autres pratiques courantes…

Une fertilisation azotée et potassique importante, un hersage très régulier… peuvent également être des facteurs favorables à la propagation du rumex.

Comment limiter le développement du rumex ou lutter contre ?

Les mesures de prévention restent le meilleur moyen pour limiter la prolifération du rumex. L’objectif est de maintenir un couvert végétal dense et de qualité pour limiter la formation de zones nues propices à la germination des graines et au développement de la plante. Cela passe avant tout par une bonne conduite du pâturage et un entretien régulier des prairies destinées au pâturage et/ou à la production de fourrages.

Assurer une bonne conduite de pâturage

Il s’agit de faire en sorte de préserver la qualité des prairies pour ne pas offrir trop d’opportunités de développement à la plante. Si l’herbe est dense et de bonne qualité, les adventices (comme le rumex) auront plus de mal à se développer que si le couvert est pauvre. Pour cela :

  • Éviter le surpâturage en diminuant le chargement (nombre d’équidés/ha) et en augmentant les temps de repos des prairies.
  • Limiter le pâturage pendant les périodes sèches ou trop humides.
  • Faucher les refus au champ pour favoriser une meilleure repousse des graminées et légumineuses fourragères.

Bien entretenir ses prairies

Sursemis sur les zones nues

Effectuer un sursemis de graminées (ray-grass anglais…) et/ou légumineuses fourragères (trèfle blanc...) sur les sols dégarnis avant que les adventices ne prennent la place. La concurrence avec le rumex est plus que rude lors du semis !

Lutte mécanique contre le rumex

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Un pied de rumex isolé peut être arraché de façon mécanique avec un outil © N. Genoux
La fauche ou le broyage avant le stade de maturité des graines (stade floraison) suivie d’un ramassage des inflorescences permettent de limiter au moins en partie la dissémination par les graines. L'efficacité de cette technique n'est toutefois pas toujours très bonne, tant la quantité de graines est importante.

Si la parcelle n’est pas trop colonisée, l’arrachage à la main des quelques pieds présents est possible lorsque les conditions sont humides et surtout quand les plants ne sont pas encore trop développés au printemps. Le rumex s'enlève alors plus facilement. L'utilisation d'une fourche à rumex, gouge ou pioche, est également envisageable si le nombre de plantes est inférieur à 1 pied/m². Intervenir lorsque le sol est frais et humide et veiller à arracher la racine sur au moins 12-15 cm de profondeur pour éviter que les rhizomes ne forment des rejets de pousse. Une étude (Aeby, 2005) montre cependant que l'efficacité de cette technique n'est pas meilleure que l'action d'herbicides de surface.

Fauche, broyage, arrachage à la main… quelle que soit la technique adoptée, toujours ramasser les résidus (plantes entières, inflorescences…) et ne jamais les jeter sur le tas de fumier pour ne pas risquer de disséminer les graines lors de la fertilisation. Plutôt les exporter, les sécher puis les brûler ou les enfouir profondément.

Les andains de fumier au champ peuvent être couverts pour limiter le risque que du rumex s'y développe avant l'épandage.

Enfin, des outils portés mécaniques (tels que ceux munis d'une fraise) existent, mais ils laissent des trous relativement importants. Le labour est déconseillé car il entraîne la remontée de graines et de fragments de racines en surface, qui repartent en végétation. Le brûlage au cœur est une autre technique de lutte mécanique dont l'efficacité n'est pas connue.

Lutte chimique contre le rumex

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Dans une prairie déjà colonisée, un traitement herbicide localisé peut être nécessaire © N. Genoux
En cas d’invasion ou lorsque le rumex a déjà bien colonisé le milieu, un traitement herbicide localisé peut s’avérer nécessaire.

Plusieurs matières actives sont efficaces et agréées pour la lutte contre les rumex. Ce sont des substances dites « anti-dicotylédones », c'est-à-dire qui peuvent détruire toutes les plantes dicotylédones comme les légumineuses (trèfle, lotier, minette) si le produit est épandu en surface en plein champ.

Le traitement localisé « plante par plante » est la meilleure technique ; elle permet de limiter l'usage des herbicides uniquement sur les zones ou plantes à traiter.


Quelques bonnes pratiques sont à respecter :

  • Traiter en avril plutôt qu'à l'automne, lorsque la sève est montante dans la plante au stade rosette. Le traitement à l'automne (sève descendante) est cependant moins néfaste pour les autres végétaux à préserver.
  • Intervenir tôt le matin ou en fin de journée, lorsque le taux d'humidité est maximum (les stomates sont ouverts). Proscrire les traitements en cas de fortes chaleurs.
  • Intervenir en absence de vent (< 10 km/h).
  • Éviter de traiter si de fortes pluies sont annoncées.
  • Respecter le dosage et une tenue adéquate (masque et protection des membres).
  • Attendre 10 à 15 jours (selon la notice) avant de réintroduire les animaux.
L'utilisation de produits phytosanitaires doit être réalisée par des personnes habilitées (voir focus sur Certiphyto ci-dessous) et dans des conditions de température, de vent et d'hygrométrie favorables. Le stade feuillu des adventices est le plus favorable pour réaliser le traitement.
Focus Certiphyto

Le Certiphyto est un certificat individuel pour sécuriser l'usage des produits phytopharmaceutiques (herbicides, insecticides, fongicides). Tous les professionnels (chef d'exploitation et salariés) qui travaillent avec des produits phytopharmaceutiques sont concernés par la réglementation française et européenne. La directive européenne (2009/928/CE) prévoit une formation obligatoire initiale et continue pour acquérir et mettre à jour ses compétences sur l'usage des produits phytopharmaceutiques. Le Certiphyto est obligatoire pour tout utilisateur depuis le 1er octobre 2014. S'adresser à la DRAAF (Direction Régionale de l’Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt) de votre région.
Lutte biologique

Une lutte biologique avec le coléoptère Gastrophysa viridula, un prédateur naturel du rumex, est possible si l'environnement est très diversifié (à côté d'une jachère par exemple). L'efficacité est cependant limitée, sauf en cas de lâchers massifs.

Ce qu'il faut retenir

► Intervenir par la fauche ou le broyage rapidement avant la floraison car les jeunes graines pas encore sèches ont aussi la capacité de germer.

► Arracher les plantes à la main si elles ne sont pas trop nombreuses. Détruire les inflorescences par le brulâge. Si la plante est déjà bien installée, réaliser un traitement désherbant sélectif localisé pour limiter l'usage des produits phytosanitaires.

► La lutte doit se réaliser sur plusieurs années consécutives pour détruire cette plante vivace.

La meilleure mesure préventive reste de bien conduire le pâturage et d’entretenir régulièrement ses prairies pour maintenir un couvert végétal homogène et de qualité.

En savoir plus sur nos auteurs
  • Pauline DOLIGEZ Ingénieure de projets & développement « Alimentation et entretien des équidés » IFCE
  • Nelly GENOUX Ingénieure agronome - ingénieure de développement IFCE

Bibliographie

  • AEBY P. (2005). Méthodes de lutte contre le rumex à feuilles obtuses. Compte-rendu de la journée sur le contrôle des populations de rumex en prairie permanente, Agra-Ost, 6 avril 2005, 7 pages.
  • Agro-Transfert (sans date). Le rumex crépu et à feuilles obtuses (Rumex crispus, Rumex obtusifolius) [en ligne]. Consulté le 20/06/2022.
  • ARINO J., AUBERT C., BONIN L., GALL J., GLACHANT C., JOHAN G., MÉNÉTRIER P., VACHER C. et ZAGANIACZ V. (2012). Connaître les adventices pour les maîtriser en grandes cultures sans herbicide. 89 pages.
  • Centre Antipoison Animal (sans date). Les rumex [en ligne]. Consulté le 20/06/2022.
  • Chambre d'Agriculture de l'Aveyron (sans date). Gérer les rumex en agriculture biologique.
  • CRÉMER S., KNODEN D., STILMANT D. et LUXEN P. (2008). Le contrôle des populations indésirables de rumex, chardons et orties dans les prairies permanentes. Les livrets de l'agriculture, n°17, 85 pages. 
  • HUBERT F. et PIERRE P. (2003). Guide pour un diagnostic prairial : deux outils en un - Une méthode pour faire le diagnostic de vos prairies, une flore pour identifier les espèces. Chambre régionale d'agriculture des Pays de la Loire, Angers, 244 pages.
  • Infloweb (sans date). Rumex à feuilles obtuses - Rumex obtusifolius [en ligne]. Consulté le 20/06/2022.
  • Infloweb (sans date). Rumex crépu - Rumex crispus [en ligne]. Consulté le 20/06/2022.
  • Ministère de l'agriculture et de la souveraineté alimentaire (2019). La réglementation des produits phytosanitaires [en ligne]. Consulté le 20/06/2022.
  • ROTH  W. (2005). Morphologie  et  physiologie  du rumex  à  feuilles  obtuses. Compte-rendu de la journée sur le contrôle de populations de rumex en prairie permanente, Agra-Ost, 6 avril 2005, 5 pages.
Pour retrouver ce document: www.equipedia.ifce.fr
Date d'édition : 14 05 2024

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